PAUL-JACQUES BONZON
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LES SIX COMPAGNONS A BESANCON(LES SIX COMPAGNONS DANS LA CITADELLE)
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"D'accord! tous à Besançon...".
Cette phrase de Tidou marque en 1975 le début des aventures de nos six
lyonnais dans une région voisine de la leur: la Franche-Comté.
Paul-Jacques Bonzon connaît bien cette région pour plusieurs raisons.
C'est une région proche de la Suisse où il a de la famille. C'est aussi
la région de son ami Paul Bulliard, originaire de Morteau dans le
Doubs. C'est enfin la région où travaille depuis peu son fils Jacques.
Alors jeune ingénieur, ce dernier habite au 9 avenue de l'Observatoire
à Besançon, adresse que son père utilisera pour loger les "méchants" de
cette intrigue...
Chapitre V : "La Citadelle" Selon les calculs du
Tondu, 218 kilomètres séparent Lyon de Besançon, en passant par
Bourg-en-Bresse et Lons-le-Saunier. Il se demande cependant quel genre
de ville est Besançon. La Guille, qui y est déjà allé pour un
enterrement familial 5 ou 6 ans auparavant, la qualifie de "curieuse"
car c'est "une drôle de ville
encerclée par [le Doubs] qui en fait presque le tour et, tout autour,
des collines couvertes de hauts immeubles et d'usines". Le Doubs
est "une rivière qui se traîne à la
façon d'une limace percluse de rhumatismes. Les vieux quartiers sont
entassés dans la boucle".
"Le plus curieux c'est la forteresse qu'on
appelle la Citadelle. De là-haut, on domine toute la ville".
Chapitre VI : "Une échelle de spéléologue""Une longue et haute muraille apparut. La
Citadelle!"
"Au pied de la façade se creusait un profond ravin empli de ronces et franchi par un pont donnant accès à une porte fermée". Chapitre VII : "Sur les remparts""Dangereux, certes, le lieu l'était. La
dalle de rocher, qu'ils croyaient entourée de buissons, dominait le
vide d'une cinquantaine de mètres. Un écart de quelques pars et c'eût
été la chute fatale".
"C'est là, une ancienne salle de corps de
garde que j'appelle mon cellier. Vous y serez bien..."
"La Citadelle, qui défendait jadis la
boucle du Doubs, était vaste, composée de plusieurs enceintes et de
nombreux bâtiments : le musée populaire franc-comtois, le muséum
d'histoire naturelle et l'émetteur de la télévision régionale, sans
parler d'une vieille chapelle désaffectée. L'extrémité du promontoire
était aménagée en zoo".
Photos prises en juillet 2014. Date de première mise en ligne de la page: 17 août 2017. |